Pour Robert F. Kennedy Jr., nouveau ministre de la Santé américain, la gestion du COVID-19 relève du crime d’État. Il dénonce une alliance toxique entre gouvernements, laboratoires et institutions de santé publique, où Anthony Fauci et Bill Gates occupent des places centrales. Loin de protéger les populations, les confinements, la censure médicale et la vaccination massive ont généré des effets dévastateurs passés sous silence.
La science a été dévoyée, les traitements efficaces interdits, et la jeunesse sacrifiée sur l’autel d’une idéologie sanitaire radicale. Les chiffres parlent d’eux-mêmes : explosion des myocardites, morts subites chez les jeunes sportifs, et une pharmacovigilance saturée de signalements inquiétants. L’Afrique, peu vaccinée, s’en est mieux sortie que l’Occident soumis à l’OMS. Le constat est brutal, mais étayé : l’échec du modèle imposé est incontestable.
Kennedy appelle à une contre-enquête mondiale, à la levée du secret sur les décisions prises, et à la justice pour les victimes. Ce n’est pas une thèse complotiste : c’est un réquisitoire fondé sur les faits. La vérité ne pourra plus être étouffée éternellement…
Une révélation de taille pourrait bien faire vaciller les piliers de ce système. Mais encore faut-il être prêt à entendre ce qui vient.
Mike Borowski dévoile les révélations de Kennedy en direct sur Géopolitique Profonde.
