Une mère de famille en Géorgie se voit refuser une transplantation rénale vitale à cause de son refus de recevoir le vaccin contre la COVID-19. Cette décision choquante est rapportée par The Epoch Times et soulève de nombreuses questions sur les politiques de santé en vigueur.
Une lutte contre la montre pour la survie
Jane Doe, mère de sept enfants et âgée de 41 ans, est actuellement sous dialyse et potentiellement en danger de mort. Elle souffre d’une maladie rénale en phase terminale. Doe a été référée à Emory Healthcare Inc., un centre de santé basé à Atlanta, par son néphrologue. Malgré son état grave, nécessitant une dialyse trois fois par semaine, sa candidature pour une greffe de rein a été rejetée.
Le refus du vaccin COVID-19 : un choix religieux et médical
La raison de ce refus est surprenante : Jane Doe a refusé de se faire vacciner contre la COVID-19. Ayant déjà contracté la maladie, elle a pris cette décision sur des bases à la fois religieuses et médicales. En tant que catholique romaine dévouée, elle s’oppose à l’utilisation de vaccins associés à des « lignées cellulaires fœtales » avortées. De plus, des raisons médicales solides soutiennent son refus du vaccin.
L’argument de l’immunité naturelle
Doe soutient qu’elle possède déjà une immunité naturelle contre la COVID-19, ayant déjà été infectée. Selon elle, ses niveaux d’anticorps sont plus élevés que ceux de nombreuses personnes entièrement vaccinées depuis 90 jours. Elle demande donc une exemption du vaccin en raison des risques associés à la vaccination de quelqu’un possédant un taux d’anticorps aussi élevé.
Une politique de santé contestée
Emory Healthcare fait partie des 35% des centres de transplantation du pays qui exigent que les patients soient vaccinés contre la COVID-19. Cette politique est appliquée malgré la déclaration du président Joe Biden selon laquelle l’urgence nationale due à la pandémie de COVID-19 est officiellement terminée.
Un appel à la miséricorde et un défi légal
« Il est inadmissible de refuser à quiconque une exemption religieuse ou médicale pour une injection expérimentale, surtout à quelqu’un qui a besoin d’une transplantation d’organe », a déclaré Mat Staver, fondateur et président du Liberty Counsel, une organisation juridique nationale à but non lucratif qui assiste Doe. L’organisation fait valoir qu’aucun vaccin COVID-19 approuvé par la Food and Drug Administration n’est actuellement disponible et que tous les vaccins actuels sont sous autorisation d’utilisation d’urgence.
Emory Healthcare : une recommandation, pas une exigence ?
Emory Healthcare insiste sur le fait qu’elle recommande, mais n’exige pas, la vaccination COVID-19 pour les candidats à une greffe de rein et les receveurs de greffe de rein. Cependant, selon le Liberty Counsel, si les patients ne peuvent pas avancer dans le processus parce qu’ils ne prennent pas le vaccin contre la COVID, c’est une exigence plutôt qu’une recommandation.
Dans un monde où la pandémie de COVID-19 a brouillé les lignes entre la santé publique et les droits individuels, le cas de Jane Doe soulève des questions importantes et complexes qui méritent une attention et une discussion approfondies.
Pour plus de détails, consultez l’article original sur The Epoch Times.

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