Donald Trump est de retour, et son impact secoue les fondations mêmes de l’ordre mondialiste. En ciblant frontalement les élites globalistes, l’ancien président américain a brisé le consensus néolibéral porté par les institutions transnationales, au premier rang desquelles le Forum économique mondial. Alors que Klaus Schwab quitte précipitamment la tête du WEF, c’est toute la structure idéologique de Davos qui vacille. Son projet d’un monde unifié, gouverné par des multinationales et des technologies de contrôle, se heurte à une vague de patriotisme populaire incarnée par le trumpisme.
Yuval Noah Harari, idéologue en chef du WEF, tire la sonnette d’alarme : la vision de Trump serait celle d’un monde divisé, instable. Mais c’est justement cette fragmentation volontaire, ce retour aux identités, aux souverainetés, qui redonne au politique son véritable sens. En refusant de céder à l’universalisme numérique et financier, Trump incarne une alternative radicale qui fédère bien au-delà des États-Unis. Ce n’est plus seulement un choix électoral, c’est un signal mondial : les peuples veulent redevenir maîtres de leur destin.
Ce bouleversement révèle la crise interne d’un système mondialiste à bout de souffle. Le WEF, longtemps intouchable, devient la cible d’une défiance massive. L’ingénierie sociale planétaire, portée par les Harari et Schwab, entre en collision avec la réalité : celle des classes moyennes appauvries, des démocraties méprisées, des cultures effacées. La rupture est consommée. Un cycle s’achève, un autre commence.
Si le trumpisme est une menace pour les puissants, c’est parce qu’il révèle leurs failles. Il ne détruit pas l’ordre mondialiste : il le dévoile. Et les peuples n’en veulent plus.
Le monde qu’ils nous préparent ne tolère plus la dissidence — mais que faire quand Trump devient lui-même le révélateur de la fracture ? Avec Yuval Noah Harari sur le grill, et Schwab en retraite, Mike Borowski met les pieds dans le plat, en direct sur GPTV !
