La pédocriminalité en France n’est pas un fléau marginal, c’est une réalité de masse couverte par l’État, ignorée par la justice et protégée par les élites. Un enfant sur cinq est victime de violences sexuelles. La France est le troisième producteur et consommateur mondial d’images pédopornographiques. Pourtant, la réponse judiciaire reste tiède, presque complice : peines légères, classements sans suite, et criminalisation indirecte des lanceurs d’alerte.
Cette indulgence systémique ne relève pas de la négligence mais d’un système volontaire. Dans les tribunaux, la parole de l’enfant est constamment mise en doute. Les professionnels qui dénoncent sont abandonnés, voire attaqués. Et dans les hautes sphères du pouvoir, les affaires impliquant des personnalités politiques, médiatiques ou intellectuelles sont enterrées, repoussées hors du champ médiatique, minimisées ou tournées en dérision.
Les cas Matzneff, Duhamel et bien d’autres révèlent une mécanique de protection mutuelle : celle d’un véritable réseau de silence actif, consolidé par une caste politique et culturelle qui défend ses intérêts. Les médias dominants jouent leur rôle dans cette dissimulation : l’information est volontairement ignorée, censurée, ou enfermée dans un langage technocratique qui neutralise l’indignation.
Ce silence organisé est un choix politique. Il révèle une volonté de ne pas faire de la pédocriminalité une priorité nationale, malgré l’urgence sociale et humaine qu’elle représente. Le crime d’État ne réside plus seulement dans l’inaction, mais dans la construction méthodique d’une omerta. Une omerta médiatique, judiciaire et institutionnelle qui protège les réseaux plutôt que les enfants. C’est cette architecture du mensonge qu’il faut faire tomber.
Ce que vous allez découvrir dépasse tout ce que vous imaginez.
Nicolas Stoquer vous dévoile les sombres coulisses en ce fléau, en direct sur Géopolitique Profonde.