L’idéologie transgenre n’est pas un simple mouvement militant, mais un outil d’ingénierie sociale soutenu par des institutions puissantes. Depuis l’élection d’Emmanuel Macron, cette doctrine est imposée dans les écoles, les médias et la culture, effaçant progressivement les repères biologiques et familiaux. Sous couvert de tolérance, des associations financées par l’État endoctrinent la jeunesse, poussant des enfants en crise identitaire vers des traitements hormonaux irréversibles et des chirurgies mutilantes.
L’argument des militants trans selon lequel l’intersexuation prouverait l’existence d’un « troisième sexe » est une manipulation. Alexandra, elle-même née avec un trouble du développement sexuel, rappelle une réalité scientifique : l’intersexuation est une pathologie, et non une identité de genre. Pourtant, la médecine n’accompagne plus ces jeunes vers l’acceptation de leur corps, elle les pousse désormais vers une transition forcée dictée par une idéologie radicale. Le serment d’Hippocrate est bafoué par des médecins qui prescrivent des traitements lourds à des mineurs, sacrifiant l’éthique sur l’autel du progressisme.
Pendant que toute critique du transgenrisme est criminalisée sous prétexte de « transphobie », les scandales de pédocriminalité impliquant des figures du pouvoir sont étouffés. Le contraste est frappant : d’un côté, une censure féroce et une propagande omniprésente, de l’autre, une impunité totale pour les élites compromises. Derrière cette offensive, se cache une volonté plus large : effacer les limites naturelles et ouvrir un marché lucratif autour du corps humain.
Qui tire les ficelles de cette mutation anthropologique imposée à marche forcée ? Qui profite vraiment de cette destruction des repères fondamentaux ?
Alexandra Brazzainville, Vincent Mc Doom, Jean-Luc Robert et Mike Borowski développent le sujet en direct sur Géopolitique Profonde.