La panne électrique géante qui a frappé l’Espagne, le Portugal et le sud de la France révèle une vérité brutale : nos réseaux électriques modernes, saturés par l’obsession des énergies renouvelables, sont devenus des bombes à retardement. Le 28 avril 2025, une simple oscillation atmosphérique a suffi à plonger des millions de personnes dans le noir total, stoppant métros, hôpitaux, aéroports et communications en quelques secondes.
La transition énergétique imposée par les élites mondialistes expose toute l’Europe à un risque de blackout massif. Derrière le discours officiel sur le climat et les énergies propres, se cache une stratégie suicidaire : réduire les capacités de production pilotable, multiplier les sources intermittentes et sacrifier la stabilité énergétique pour des objectifs idéologiques. L’Espagne, avec son Plan National Énergie-Climat visant 81 % de renouvelables d’ici 2030, est devenue un laboratoire de l’effondrement.
Ce désastre n’est pas un accident isolé. Il s’inscrit dans une série de précédents déjà connus : effondrement du réseau italien en 2003, blackouts européens de 2020, collapse texan de 2021. A chaque fois, le scénario est identique : surproduction solaire, défaillance éolienne, incapacité du réseau à encaisser les chocs et effondrement en chaîne. Plus que jamais, l’aveuglement idéologique accélère la désintégration de notre monde technologique.
La coupure de ce 28 avril n’est qu’un avant-goût. Chaque jour, le risque grandit. Un phénomène météo extrême, une cyberattaque ou simplement un défaut de gestion suffisent à déclencher un arrêt total. Et cette fois, personne ne pourra se réfugier derrière des excuses faciles : le chaos sera immédiat, total, irréversible.
Nicolas Stoquer révèle pourquoi l’Espagne est devenue le symbole du grand effondrement énergétique, en en direct sur GPTV.