La revue de presse en temps réel

Covid et pleurniche : Olivier Véran s’excuse pour la gestion de crise

🟡 NOS SOLUTIONS 🟡

Planetes360
Planetes360
Planetes360 est un site d'information qui s'est fixé pour objectif de mettre en lumière les informations laissées dans l'ombre par les grands médias. Notre plateforme collaborative ne met en valeur aucune tendance, personnalité, ou parti politique.

En mars 2020, au début de l’épidémie en France, l’élargissement du port du masque à tous avait été jugé « inutile ». L’ex-ministre de la Santé, qui a écrit un livre sur la crise sanitaire, admet aussi l’absurdité de certaines mesures lors du premier confinement.

[…]

L’ancien ministre de la Santé, devenu porte-parole du gouvernement, exprime quelques regrets : « Une partie de l’opinion nous a reproché d’avoir sciemment menti sur les masques, pour cacher la pénurie, se rappelle Olivier Véran, qui assure : Ce n’est pas le cas. La vérité, c’est que, sur les masques, nous nous sommes trompés, ni plus ni moins. Nous, l’OMS [Organisation mondiale de la santé] et les autorités sanitaires internationales. De bonne foi, certes, mais nous nous sommes trompés. »

« Je porte la responsabilité de toutes les décisions prises, adaptées ou non, et je saisis ici l’occasion de vous présenter mes excuses pour cette incroyable erreur d’appréciation », écrit-il dans son livre. […]

En mars 2020, alors que l’épidémie de Covid-19 déferlait en France, les autorités sanitaires avaient jugé « inutile » l’élargissement du port du masque à l’ensemble de la population. […]

Dans son entretien, l’Isérois revient sur la perquisition qui a eu lieu le 15 octobre 2020 dans le cadre d’une enquête sur la gestion de la crise sanitaire. « Il est 6 heures du matin. “Bonjour, c’est la police.” Vous imaginez ? Tout d’un coup, alors que je m’étais couché à 2 heures du matin, et qu’on venait de prononcer la veille l’état d’urgence sanitaire, 18 magistrats et policiers avec des brassards qui débarquent dans mon salon », explique l’ancien ministre de la Santé.

[…]

Celui qui a été l’un des visages de la pandémie admet aussi, deux ans et demi après le premier confinement, l’absurdité de certaines mesures imposées pendant la crise sanitaire. « Par exemple quand on rouvre les terrasses de restaurant en exigeant des bacs à fleurs ou des panneaux de Plexiglas pour séparer les tables. Mais je note aussi que certains pays voisins nous ayant qualifiés d’Absurdistan nous ont suivis dans la plupart des cas. Ça rend modeste, une gestion de crise… »

[…]

Olivier Véran confie également avoir « touché du doigt le burn-out ». Notamment à la fin de la première vague en 2020, « j’ai eu des vertiges, de profondes nausées, les jambes qui flagellent », rapporte-t-il, expliquant qu’il dormait alors « trois heures par nuit », sautait des repas et était soumis à un « stress permanent ».

Lire l’intégralité de l’article sur lemonde.fr

A LA UNE

LAISSER UN COMMENTAIRE

S'il vous plaît entrez votre commentaire!
S'il vous plaît entrez votre nom ici

Accès illimité à des livres gratuits - Cliquez pour en profiter !

🔥 LES PLUS POPULAIRES

Votre santé les intéresse ! Comment ce guide vous aide à lutter contre Big Pharma.

X