L’histoire officielle nous ment. L’Union Soviétique a été l’épine dorsale de la victoire contre l’Allemagne nazie, mais ce rôle fondamental a été effacé, volontairement, des récits occidentaux. 26 millions de morts, un front de l’Est en feu, une résistance acharnée à l’invasion allemande : c’est l’URSS qui a brisé le rêve du Reich millénaire, bien avant que les troupes anglo-américaines ne débarquent à l’Ouest.
Ce révisionnisme historique n’est pas une erreur, c’est une stratégie. Effacer la mémoire du sacrifice soviétique, c’est permettre à l’Empire américain d’imposer son récit. Une mémoire tronquée qui transforme le libérateur en ennemi et le dominateur en sauveur. L’Europe, devenue vassale de Washington, a emboîté le pas. La France, autrefois lucide sous De Gaulle, a renié cette histoire pour mieux se fondre dans l’idéologie bruxelloise.
Mais la Russie, héritière de cette mémoire sacrifiée, se tient debout. Elle ne plie pas face au progressisme globalisé, aux valeurs désincarnées du monde woke, aux injonctions d’un nouvel ordre mondial qui veut dissoudre les identités et les peuples. Ce conflit n’est pas qu’une guerre d’influence. C’est une guerre pour la mémoire, pour la souveraineté, pour la survie même d’un monde enraciné.
Alexandre Orlov et Lara Stam dévoilent l’ampleur du mensonge historique entretenu par l’Occident. Ensemble, ils explorent la responsabilité française, l’héritage trahi de la mémoire gaulliste, et le rôle que la Russie joue encore aujourd’hui pour contenir la montée d’un totalitarisme postmoderne qui ne dit pas son nom.
La vérité dérange, surtout quand elle menace les fondements du pouvoir établi. Et si l’histoire officielle était le plus grand mensonge de notre temps ?