Alors que la tension monte entre la Russie et l’Ukraine, Emmanuel Macron semble décidé à engager la France sans l’aval du peuple, ni celui du Parlement. Derrière les discours officiels, c’est une réalité bien plus inquiétante qui se dessine : une marche forcée vers un conflit mondial, orchestrée dans l’opacité la plus totale.
Des généraux et officiers français tirent la sonnette d’alarme, dénonçant la violation manifeste des articles 35 et 53 de la Constitution. Ils réclament un vote parlementaire immédiat pour stopper l’engagement militaire français en Ukraine, exigeant un retour urgent au respect des principes démocratiques fondamentaux.
Face à cette dérive autoritaire, l’opposition reste curieusement silencieuse. Entre passivité et complicité, le Parlement laisse l’exécutif avancer sans frein, ignorant les enjeux vitaux de souveraineté nationale et de paix. Ce renoncement institutionnel révèle un dysfonctionnement majeur du régime français, où le pouvoir d’un seul homme écrase toute forme de débat démocratique.
La radiation du général Coustou incarne cette volonté de bâillonner toute opposition interne. Le système élimine méthodiquement les voix libres dans l’armée pour assurer un alignement total avec les choix politiques du pouvoir. Cette stratégie de purge s’inscrit dans un projet plus large de transformation de l’appareil d’État en simple instrument de l’exécutif, sans contrepoids ni garde-fous.
La France bascule sous nos yeux vers une gouvernance autoritaire, masquée par les oripeaux d’une démocratie de façade. Ceux qui résistent sont déjà ciblés. Ceux qui parlent prennent des risques immenses.
Et pendant que le peuple regarde ailleurs, Emmanuel Macron accélère une mécanique irréversible.
Le Capitaine Fabre-Bernadac, Christian Cotten et Franck Layré-Cassou dévoilent ce que personne n’ose dire, en direct sur GPTV avec Mike Borowski !