La France est au bord du précipice. Son endettement massif n’est pas une fatalité, mais un choix délibéré des élites pour soumettre le pays aux marchés financiers et aux institutions supranationales. Loin d’être une simple conséquence économique, la dette devient un instrument de domination, privant l’État de sa souveraineté et soumettant chaque décision politique aux diktats de Bruxelles et du FMI. Emmanuel Macron accélère ce processus en multipliant les dépenses sous des prétextes idéologiques : transition énergétique incontrôlée, soutien à l’Ukraine, mesures « écologiques » ruineuses. L’objectif est clair : rendre toute sortie du système impossible, forçant la France à s’aligner sur les dogmes néolibéraux et mondialistes.
Pendant ce temps, l’insécurité explose et l’État se révèle complice du chaos. Les forces de l’ordre sont bridées, empêchées d’intervenir face à une criminalité galopante, largement alimentée par une immigration incontrôlée. Les zones de non-droit s’étendent, les tribunaux relâchent les criminels, et les honnêtes citoyens subissent une répression toujours plus forte sous couvert de « lutte contre la haine ». La doctrine du deux poids, deux mesures est désormais la norme : permissivité totale pour les délinquants, traque permanente pour ceux qui osent contester l’ordre établi. Ce système anarcho-tyrannique ne vise qu’un objectif : affaiblir la nation, démoraliser son peuple et empêcher toute forme de révolte contre le pouvoir en place.
Face à cette situation, l’opposition politique censée incarner un espoir de changement se révèle être une impasse. Le Rassemblement National, obsédé par sa dédiabolisation, enchaîne les concessions idéologiques et renonce à incarner une véritable alternative. Plutôt que de s’attaquer aux causes profondes du mal qui ronge la France, il cherche l’acceptabilité médiatique, abandonnant toute ambition souverainiste et identitaire. À l’inverse, l’AfD en Allemagne montre qu’une droite assumée, refusant les compromis, peut imposer ses idées et progresser malgré la censure et la diabolisation. Tant que la droite française restera soumise aux règles du jeu imposées par ses adversaires, elle restera une opposition de façade, incapable de renverser le système.
Jusqu’où ira cette stratégie d’effondrement orchestré ? Qui profite réellement de cette situation ? Les réponses sont là, mais elles dérangent ceux qui veulent maintenir la France dans l’illusion.
Marc Gabriel Draghi, Jean Yves Le Gallou et Bernard Monnot vous dévoilent toutes ces vérités sans concessions, en direct dans La Matinale de Géopolitique Profonde !