« Blanchiment de courtoisie », c’est ce que déclarera pudiquement la page wikipedia de Thierry Breton. En bref: ne pas parler de ses très nombreuses et gravissimes casseroles, des deux morts violentes dans l’affaire Rhodia, des suicides chez France Telecom, de l’effondrement brutal d’Atos, ou du massacre de Bull.
En fait, si vous allez sur la page « affaire Rhodia », oui, ça parlera sévèrement de Breton, mais si vous allez sur la page de Breton lui-même, vous n’en trouverez que deux lignes élégantes qui ne le mettront aucunement en cause.
Comment donc quelqu’un d’aussi sulfureux, au bilan aussi catastrophique et à l’incompétence aussi crasse peut-il être présenté dans les médias comme une sorte de génie de la démocratie, pourfendeur héroïque de l’impérialisme américain?
Eh bien tout simplement parce que Monsieur Breton est sous la protection d’une ribambelle d’oligarques, qui ne tiennent pas à ce que le public connaisse la réalité de sa vie.
Mais ici nous ne sommes pas un média des oligarques, nous sommes journalistes citoyens, et en vertu de notre Premier Devoir de la Charte de Munich, nous vous offrons donc le véritable CV de Thierry Breton, avec Amélie Ismaïli, journaliste d’investigation et Directrice de la Publication du media Rechecking
Recheckingmedia.org
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