Emmanuel Macron avait 14 ans lorsqu’il a entamé une relation avec Brigitte Auzière, alors professeure de 39 ans. Un fait incontestable, mais soigneusement occulté par la justice et les médias. Pourtant, en France, l’âge du consentement est fixé à 15 ans, et toute relation impliquant une figure d’autorité est passible de poursuites. Alors pourquoi ce silence absolu ? Pourquoi aucune enquête n’a été menée dans les établissements fréquentés par Macron, alors que des affaires similaires entraînent systématiquement des investigations approfondies ?
La réponse est simple : la machine médiatique verrouille toute remise en question. Ceux qui osent enquêter sur cette affaire sont systématiquement discrédités, attaqués, ou censurés. Panamza a révélé que des moyens considérables sont déployés pour semer la confusion et empêcher tout débat sérieux. Des « brigittologues » factices sont même utilisés pour détourner l’attention et ridiculiser ceux qui posent les vraies questions.
Plus inquiétant encore, cette affaire s’inscrit dans une tentative plus large de réécriture de la réalité. Macron lui-même brouille les repères en affirmant qu’un père « n’est pas nécessairement un mâle », participant ainsi à une subversion idéologique qui efface les évidences biologiques et sociales. En détruisant les repères fondamentaux, les élites redéfinissent la norme à leur avantage, protégeant ainsi leurs propres dérives.
Jusqu’où ira cette manipulation des consciences ? Et surtout, pourquoi cette immunité totale autour d’un président dont l’histoire personnelle devrait, en toute logique, susciter des questions ?
Lionel Labosse, Mike Borowski, Lara Stam et Nicolas Stoquer ne mâchent pas leurs mots, en direct sur Géopolitique Profonde.
