Emmanuel Macron accumule les humiliations et les échecs. Lors de la conférence des ambassadeurs, il a exigé que les dirigeants africains lui « disent merci » pour les interventions françaises au Sahel, tout en affirmant que leur souveraineté dépendait de la France. Une déclaration paternaliste qui a provoqué une révolte immédiate chez les leaders africains.
Mahamat Idriss Déby Itno, président tchadien, dénonce des propos « méprisants », tandis qu’Ousmane Sonko, Premier ministre sénégalais, accuse la France d’être incapable de garantir la sécurité de l’Afrique. En réalité, les faits parlent d’eux-mêmes : expulsée du Mali, du Burkina Faso et du Niger, la France voit son influence s’effondrer sur tout le continent. Macron, en tentant de se poser en sauveur, refuse d’assumer un bilan militaire et politique désastreux.
Mais ce n’est pas tout. En France, Brigitte Macron amplifie la posture victimaire de son mari, affirmant qu’il « mérite le respect » et qu’il est « meurtri » par les critiques. Pendant ce temps, les Français dénoncent un président déconnecté, perçu comme un exécutant des élites mondialistes, prêt à trahir les intérêts de son propre pays. Macron détruit l’industrie française, affaiblit sa souveraineté et creuse un fossé irréparable avec le peuple.
Sur la scène internationale, Emmanuel Macron incarne une France isolée et méprisée. Son arrogance destructrice, son incompréhension des aspirations africaines et son mépris pour les classes populaires en France précipitent le déclin d’un pays autrefois respecté.
Pourquoi Macron persiste-t-il malgré l’évidence ? Que cache réellement cette stratégie d’inversion accusatoire et cette posture de victime ? Les réponses pourraient bien révéler un plan plus sombre qu’il n’y paraît.
Ne manquez pas cette analyse , en direct sur Géopolitique Profonde avec Nicolas Stoquer.