Trump revient avec une détermination sans faille. Dès son investiture, il impose une rupture radicale avec le progressisme et l’agenda mondialiste. En quelques décrets, il démantèle les politiques climatiques, met fin aux idéologies de genre et coupe les financements des bastions progressistes. Son objectif ? Restaurer un État souverain, affranchi des institutions supranationales. Les Accords de Paris et l’OMS ne sont plus qu’un lointain souvenir.
Sa politique étrangère s’inscrit dans un pragmatisme brutal. Premier coup de force : le retrait total du soutien américain à l’Ukraine, un tournant majeur qui bouleverse l’équilibre de l’OTAN. Mais Trump ne se replie pas : il vise l’expansion, avec en ligne de mire le Canada et le Groenland. Son ambition ? Redessiner la carte du continent nord-américain et s’assurer un contrôle absolu sur les flux commerciaux, notamment via le canal de Panama.
Au Moyen-Orient, son alliance avec Israël se renforce, mais jusqu’où ? En poussant pour un contrôle américain direct sur Gaza, Trump prend des risques et interroge sur son indépendance face aux lobbies pro-israéliens. Est-il le maître du jeu ou simplement un exécutant d’intérêts supérieurs ?
L’Europe, elle, vacille. Son alignement aveugle sur Washington la place dans une impasse. La fin du soutien à l’Ukraine et la montée en puissance du bulldozer Trumpien condamnent l’Union européenne à un choix cornélien : soumission ou rupture totale avec l’atlantisme ?
Le monde est en train de basculer, et ce nouvel ordre ne laissera personne indemne. Qui tirera vraiment les ficelles de cette révolution conservatrice en marche ?
Terence d’Aracaunie et Raphaëll Besliu analysent ce début de mandat en direct sur Géopolitique Profonde.
