L’assassinat de John F. Kennedy ne fut pas l’œuvre d’un déséquilibré solitaire, mais l’acte fondateur d’un basculement global du pouvoir. En 1963, Kennedy s’opposait frontalement aux intérêts les plus puissants de son temps : la CIA, le Mossad, le complexe militaro-industriel et la haute finance internationale. En s’attaquant à la Réserve Fédérale, en préparant un retrait du Vietnam et en entravant le programme nucléaire israélien, il devenait une cible à éliminer.
Les documents déclassifiés récemment, sous l’administration Trump, révèlent l’ampleur de la surveillance dont il faisait l’objet. E. Howard Hunt, figure clé de la CIA, accuse dans un témoignage posthume Lyndon B. Johnson d’avoir été au cœur du complot. Le 22 novembre 1963, une opération minutieusement orchestrée se met en place à Dallas : plusieurs tireurs, couverture logistique par la mafia, et Lee Harvey Oswald utilisé comme bouc émissaire.
Ce crime politique ne visait pas un homme, mais un projet : celui d’une Amérique souveraine, affranchie des réseaux occultes qui la dirigent depuis. Après Dallas, la mainmise de l’État profond devient totale. Johnson inverse les grandes décisions de Kennedy, la guerre du Vietnam s’intensifie, et l’axe atlantiste verrouille le monde occidental. Ce coup d’État silencieux a servi de modèle aux interventions clandestines de la CIA, jusqu’en Europe, où Charles de Gaulle sera lui aussi visé.
Les connexions entre les réseaux atlantistes, les élites financières et les services de renseignement se révèlent dans toute leur brutalité. Depuis cet événement, aucun président américain n’a véritablement gouverné. Le monde est entré dans l’ère du pouvoir invisible, celui qui agit dans l’ombre, en toute impunité.
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