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AFFAIRE DECHAVANNE : NOUVELLE CONDAMNATION POUR CONSOMMATION DE COCAÏNE ! | GPTV

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Christophe Dechavanne, figure du paysage audiovisuel et macroniste convaincu, vient d’être condamné pour récidive de conduite sous stupéfiants. Pourtant, au lieu d’assumer, il tente de se dédouaner avec une excuse absurde : il aurait été contaminé par un simple baiser à une femme ayant consommé de la cocaïne. Un argument que personne ne prendrait au sérieux s’il s’agissait d’un citoyen ordinaire. Mais lorsque l’on appartient aux élites protégées, tout est fait pour minimiser les faits et détourner l’attention.

L’ampleur du traitement de faveur est flagrante. Malgré son passif judiciaire, Dechavanne n’a pas eu à se présenter au tribunal et son avocat a plaidé un faux positif, dénonçant un climat « anxiogène ». Résultat ? Une simple amende et une suspension de permis. Un individu lambda aurait écopé d’une peine bien plus lourde. Mais dans cette caste médiatique, l’entre-soi prime : on protège les siens, on relativise, et on passe à autre chose.

L’affaire Dechavanne est une nouvelle preuve de l’hypocrisie du paysage médiatique français. Récidiviste, il bénéficie pourtant d’un traitement bienveillant, alors que le moindre faux pas des opposants politiques fait l’objet d’un lynchage médiatique immédiat.

Imaginons un instant qu’un membre du Rassemblement National, de Debout la France ou de l’UPR soit impliqué dans une affaire similaire. Les médias parleraient de déchéance morale, de « montée des extrêmes » et de « comportements irresponsables ». Mais Dechavanne, lui, est protégé. Pas d’indignation sur les plateaux, pas de matraquage médiatique. Pire, certains justifient : « tout le monde en prend aujourd’hui ». Cette banalisation illustre la décadence des élites.

Dans ce système, le deux poids, deux mesures est flagrant. Un citoyen ordinaire aurait vu son permis annulé sur-le-champ, risquant un casier judiciaire aux lourdes conséquences. Un opposant politique aurait été détruit par la machine médiatique. Mais Dechavanne peut compter sur ses amis du pouvoir pour étouffer l’affaire et protéger son image.

Cette affaire révèle une élite déconnectée des réalités, prônant des valeurs morales tout en vivant dans une décadence assumée. Les règles qu’elle impose au peuple ne s’appliquent jamais à elle. La drogue, les excès et l’impunité sont la norme dans ces cercles, pendant que le citoyen lambda subit la répression et la stigmatisation au moindre faux pas.

Dechavanne, qui dénonçait hier la montée de la radicalité populiste, représente cette caste arrogante qui se croit intouchable. Il moralise, dicte ce qui est bien ou mal, tout en s’octroyant tous les passe-droits. Cette hypocrisie totale est devenue la norme des élites parisiennes.

Et le plus effrayant ? Certains trouvent cela normal. Les médias ont tellement formaté l’opinion que l’on excuse ces comportements. La corruption des esprits est totale. Les élites sont intouchables, tandis que le peuple subit les sanctions. Cette injustice est-elle encore supportable ?

Que cache réellement cette affaire ? Qui protège qui ? La vérité est plus sombre qu’il n’y paraît et Mike Borowski vous la révèle, en direct sur Géopolitique Profonde !

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